Le dernier gadget technologique venu de l’Empire du Milieu fait parler de lui : DeepSeek, une intelligence artificielle « made in China », serait capable de rivaliser avec les géants occidentaux à coups de bouts de ficelle et de circuits imprimés bricolés. À croire que les ingénieurs chinois ont regardé la série MacGyver en boucle avant de se lancer dans cette aventure. Ils ont jonglé entre intelligence naturelle et artificielle.
Quand MacGyver rencontre le cloud
Imaginez un instant Angus MacGyver, le roi du bricolage des années 80, armé non pas d’un couteau suisse, mais d’une clé USB et d’un algorithme maison. Eh bien, c’est à peu près l’impression que donne DeepSeek. Selon des sources très bien désinformées, les ingénieurs chinois auraient construit leur IA avec des moyens dignes d’un épisode pilote de série B : vieux processeurs récupérés, cartes mères datant de l’époque où Windows XP régnait en maître, et, pour couronner le tout, une connexion internet qui ferait passer un modem 56k pour la fibre optique.
Et pourtant, le résultat est là : DeepSeek est capable de traiter des milliards de données en un clin d’œil, de résoudre des équations dignes d’un concours de mathématiques pour surdoués, et même de composer des poèmes. Tout ça avec un budget qui tiendrait dans une enveloppe kraft, celle-là même qu’utilise votre banquier pour vous expliquer pourquoi vous ne pouvez pas acheter une Tesla.
De l’art de faire beaucoup avec peu
Là où les Occidentaux empilent des serveurs et des investissements à huit chiffres, DeepSeek joue la carte de l’efficacité. À la manière de MacGyver qui a pu désamorcer une bombe avec un chewing-gum et un trombone, les ingénieurs de DeepSeek ont optimisé chaque ligne de code et chaque composant. Résultat : une IA aussi agile qu’un gymnaste olympique, mais avec l’âme d’un bricoleur du dimanche.
Et ce n’est pas tout. DeepSeek semble avoir un don pour les astuces improbables : on raconte qu’elle peut détecter une panne de moteur en écoutant le bruit d’une voiture, ou prédire la météo à partir d’une simple photo d’un ciel bleu. L’astuce ? Des algorithmes formés sur des bases de données gigantesques… et un soupçon d’imagination chinoise, bien sûr.
Le grand bluff de l’IA ?
Mais attention, tout n’est pas aussi brillant qu’un écran Retina. Certains experts s’interrogent : DeepSeek, est-elle vraiment la révolution annoncée, ou un joli tour de passe-passe numérique ? « Il y a un côté magique à la David Copperfield dans cette IA », déclare un spécialiste en cybersécurité, avant d’ajouter : « On dirait qu’elle fait tout, mais on ne sait pas vraiment comment. »
Pour le moment, DeepSeek fascine autant qu’elle intrigue. Certains y voient une preuve que l’ingéniosité peut triompher de la démesure budgétaire. D’autres, plus sceptiques, se demandent si ce MacGyver numérique ne finira pas, comme tant d’autres héros, par se retrouver dépassé par ses ambitions.
Une chose est sûre : avec DeepSeek, la Chine prouve qu’elle est prête à jouer dans la cour des grands, même si elle doit pour cela utiliser une boîte à outils tout droit des années 80. Reste à savoir si cette IA bricoleuse résistera face aux mastodontes de la Silicon Valley, ou si, comme MacGyver, elle devra se contenter d’un happy end modeste mais héroïque.
Et qui sait ? Peut-être que dans quelques années, on apprendra que DeepSeek a été assemblé dans un garage, entre une tasse de thé au jasmin et une vieille calculatrice Casio. À ce moment-là, on pourra vraiment dire qu’elle aura gagné son titre de MacGyver des IA.
(c) Vidéo ci-dessus : les DeepSeek Kings, référence incontournable de la tech culture

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