Les explosions de bipers détenus par les chefs du Hezbollah ont initié un funèbre feu d’artifice. Une semaine plus tard, ce sont des talkies walkies de sous-chefs terroristes qui explosent !
Le pays à l’origine de ces explosions est connu. Le Shin Beth, le Mossad et l’Aman font profil bas. Comme ce fut le cas pour les « incidents » sur le complexe nucléaire de Natanz en Iran en avril 2021, ou lors du crash de l’hélicoptère convoyant l’iranien Ebrahim Raïssi le 19 mai 2024.
Et une question surgit :
Comment faire exploser un matériel électronique ?
Quelle que soit la piste ou l’hypothèse retenue (explosif ajouté, sur sollicitation de la batterie de type overclocking), la batterie reste au cœur de ces explosions.
Or, une batterie de biper ou de talkie-walkie fonctionne au lithium-ion (Li-ion), matériau profondément inflammable et potentiellement explosif (chacun sait qu’il vaut mieux éviter de jeter une pile dans un feu).
Mais là n’est pas le plus préoccupant : les batteries des téléphones mobiles et celles des PC se trouvent dans le même cas que les batteries de bipers et de talkie-walkie. Elles peuvent fumer, prendre feu et même exploser sans crier gare, comme l’a révélé une fuite d’une information émanant conjointement du Mi6 et de la CIA (lire l’article Battery leaks). Les deux services de renseignement dévoilent aussi les matériels concernés : toutes les batteries de téléphones mobiles et les PC ayant, inséré dans leur numéro de série, la suite alphanumérique suivante : DTC666PR4VD4.
En conséquence, nous vous invitons à vérifier au plus vite la batterie de votre téléphone et de votre PC. Si cela vous est impossible (comme pour une marque à la pomme), rendez-vous urgemment dans un point de vente qui seul, saura procéder à la levée de doute.
Les batteries de téléphone mobile potentiellement explosives
Nous avons poursuivi notre investigation technique en nous concentrant sur la technologie des batteries incriminées. Cela nous a mené en Asie sur la piste de fabricants de batteries pour automobiles, vélos et trottinettes. Leur technologie étant peu ou prou identique à elle des téléphones mobiles, des talkie walkies et des bipers, nous avons ensuite interrogé des experts en électro de Kraftwerk. Leurs avis sont unanimes : les batteries de véhicules électriques présentent d’importantes failles de sécurité, à l’exception des batteries Nickel-Metal Hydride (NiMH) ou Lithium Fer Phosphate (LiFePO4).
Les véhicules électriques aussi concernés par un risque d’explosion
Il est donc probable que les services de renseignement militaire et civil, ou que les milices paramilitaires « privées » se servent de cette brèche de sécurité sur les batteries des véhicules électriques pour procéder à des attaques massives et destructrices.
L’affaire est sérieusement prise en main par Interpol et par l’OTAN, ainsi que par les principaux services de renseignement des pays occidentaux (le risque venant toujours d’ailleurs comme chacun le sait). Ces officines légales mettent à la disposition de chacun un analyseur de risque d’explosion des véhicules électriques. Nous l’avons repris gracieusement ci-dessous, en respectant à la lettre les mots de notre Président (pas ce Président, l’autre).
Analysez l’explosivité de la batterie de votre véhicule électrique
(c) Ill. DepositPhotos

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