Les incivilités défient même les gloires nationales !

Par Laika 031157

Le 8 décembre 2025

Un pigeon souille De Gaulle : synecdoque des incivilités, outrage intolérable ! Satire sur jeunesse laxiste, appel à tolérance zéro et à la colombodestruction

Un pigeon souille De Gaulle : synecdoque des incivilités, outrage intolérable ! Non à une jeunesse laxiste. Appel à tolérance zéro

Dans les annales de la République, certains actes marquent l’esprit par leur audace effrontée, leur mépris flagrant des valeurs qui forgent une nation. Imaginez, si vous le pouvez sans frémir, un individu perché avec arrogance sur la tête du général De Gaulle, prêt à y déposer une marque indélébile de son dédain – un guano symbolique, visqueux et irrévérencieux. Cet épisode, survenu sous nos yeux incrédules, n’est pas une simple anecdote urbaine ; il incarne l’essence même de l’incivilité contemporaine, cette plaie qui ronge les fondations de notre société civilisée. Chier sur De Gaulle, est-ce tolérable ? La question se pose avec une urgence philosophique, rappelant les interrogations de Kant sur l’impératif catégorique : agit-on ainsi si l’on souhaite que cet acte devienne loi universelle ? Évidemment non, car cela mènerait à une anarchie fécale où même les héros de la Résistance seraient souillés sans recours.

Politiquement, l’affaire résonne comme un écho des grandes trahisons historiques. De Gaulle, ce géant qui libéra la France des chaînes nazies, ce visionnaire qui imposa la Ve République contre vents et marées, se voit ainsi rabaissé par un geste qui frise la haute trahison. N’oublions pas que le Général incarnait l’ordre, la grandeur, cette « certaine idée de la France » que des éléments subversifs cherchent à piétiner. Psychologiquement, Freud y verrait sans doute une régression infantile, un retour au stade anal où l’expulsion de déchets devient un acte de rébellion contre l’autorité paternelle. De Gaulle, père symbolique de la nation moderne, subit ici l’ultime outrage œdipien : une déjection qui salit non seulement son image, mais l’héritage collectif. Et philosophiquement, Nietzsche hurlerait au surhomme inversé – non pas l’élévation par la volonté de puissance, mais une déchéance aviaire, où le faible impose sa marque sur le fort par pure lâcheté.

Anarchie dans les cieux : pour accompagner cet édito sur l’outrage ailé, rien de mieux que « Anarchy in the UK » des Sex Pistols. Ce morceau punk emblématique, avec son énergie chaotique et son mépris railleur pour les institutions, fait écho à l’incivilité du pigeon qui défie l’autorité gaullienne comme un anarchiste en herbe. La satire de l’article sur la jeunesse laxiste et la tolérance zéro trouve une bande-son parfaite dans ces riffs rageurs, soulignant l’absurdité d’une rébellion fécale face à l’ordre républicain – un clin d’œil philosophique à Hobbes, où le chaos aviaire menace le Léviathan.

Jeunesse sauvageonne

Mais qui sont ces auteurs d’incivilités ? Invariablement, la jeunesse, cette cohorte volatile et irresponsable, élevée dans le laxisme post-soixante-huitard, où les valeurs de respect et de discipline ont été reléguées aux oubliettes. Les plus âgés, eux, imprégnés de sagesse et d’éducation républicaine, n’oseraient jamais pareille profanation. Ils savent que la tolérance zéro s’impose face à ces dérives, comme l’exigeaient déjà les légalistes de tous bords, de la droite sécuritaire à la gauche autoritaire. Il faut réprimer sans relâche ces actes de vandalisme feutré, ces atteintes à l’ordre public qui minent la cohésion sociale. Pensez-y : si l’on laisse passer cela, demain ce sera l’anarchie, les tags sur les monuments, les jets de projectiles ou d’or jaune sur les forces de l’ordre, ou pire, des manifestations sauvages qui bloquent les artères vitales de la nation. La colombodestruction systématique et nationale (donc au-delà de Colombe-et-les-deux-églises) s’impose comme une mesure prophylactique : éradiquer ces nuisibles ailés, ces vecteurs de chaos, par des moyens légaux et efficaces – filets, répulsifs, ou même une brigade anti-volatiles dédiée. Car ces oiseaux, avec leur plumage innocent, ne sont que les complices d’une déliquescence plus profonde, symboles d’une société où l’incivilité vole bas, mais frappe haut. Un tel exercice permettrait aussi de régler et valider notre défense anti drones.

Non à la chienlit des incivilités

La nocivité de ces créatures n’est plus à démontrer. Porteurs de maladies, souilleurs d’espaces publics, ils incarnent la synecdoque parfaite de toutes les incivilités : du chewing-gum collé sous les bancs aux crachats sur les trottoirs, en passant par les graffitis politiques qui défigurent nos villes. Tolérer cela, c’est ouvrir la porte à la barbarie, comme le soulignait Hobbes dans son Léviathan : sans un État fort pour imposer l’ordre, l’homme – ou le pigeon – redevient loup pour l’homme. Il est temps de restaurer l’autorité, d’appliquer la loi avec fermeté, sans concessions ni complaisance. Les sanctions doivent pleuvoir, les amendes s’alourdir, les peines exemplaires dissuader les récidivistes. Car chier sur De Gaulle, c’est chier sur la France elle-même, sur ses valeurs immortelles de liberté, d’égalité et de fraternité – une fraternité qui exclut, bien sûr, les éléments perturbateurs.

Citoyens, il est de notre devoir impérieux d’agir. Mobilisez-vous pour une pétition nationale exigeant la mise en place immédiate d’une task force anti-incivilités ailées. Contactez vos élus, descendez dans la rue, pacifiquement, bien entendu (et pas « tendu, tendu », comme on dit dans la Gendarmerie), pour réclamer des mesures draconiennes. Ensemble, restaurons la dignité du Général et, par extension, celle de notre République. Que plus jamais un tel outrage ne souille nos icônes nationales. La tolérance zéro, c’est maintenant !