Pølitique

Pourquoi seuls les « gens méchants » font du Macron bashing

Manu, sauveur en costard : réformes, nominations rusées, diplo impériale. Basher ? Pour les méchants ! Vive la Start-up Nation en guerre (contre l'ennui)

Manu, sauveur en costard : réformes, nominations rusées, diplo impériale. Basher ? Pour les méchants !

Le Macron bashing est un sport (inter)national qui fait autant de bruit qu’un concert de hard rock dans une bibliothèque monastique. Mais avouons-le, seuls les âmes les plus ténébreuses, ces éternels rabat-joie armés de leur fiel et de leur clavier, s’acharnent sur notre Manu-la-scoumoune. Lui, l’homme qui transforme les crises en occasions en or, qui danse sur les volcans politiques sans jamais transpirer. Pendant ses deux quinquennats, avec des rebondissements dignes des meilleurs twists de séries, Emmanuel Macron a enchaîné les exploits avec la grâce d’un funambule ivre de champagne. Réformes salvatrices, nominations judicieuses, diplomatie de Jedi : tout y est passé, et pourtant, les grincheux persistent.

Pourquoi ? Parce que critiquer Manu, c’est comme jeter des cailloux sur la Joconde : ingrat, inutile et franchement mesquin. Plongeons, avec un clin d’œil espiègle, dans ce panthéon de prouesses qui rendraient jaloux n’importe quel super-héros en moule boules.

Les nominations : un jeu d’échecs où Manu est le grand maître

Commençons par le casting gouvernemental, ce ballet délicat où notre président excelle comme un metteur en scène de génie. Prenez Gabriel Attal, ce jeune premier plein de pep’s, propulsé à Matignon en janvier 2024 après la démission d’Élisabeth Borne. Un choix osé ? Que nenni ! C’était une masterclass de mentorat : former la relève tout en gardant les rênes bien en main. Hélas, la dissolution de juin 2024 – on y reviendra – a contraint Manu à un recast express. Exit Attal, qui trotte désormais sur les bancs de l’Assemblée comme un agneau égaré dans un amphithéâtre en grève (même si, franchement, à Assas, les grèves, c’est plus rare qu’un accord parfait en politique).

Puis vint Michel Barnier, ce boomer olympique, nommé en septembre 2024. Sympa comme une porte de prison ? Allons, c’est de l’humour noir : ce boute-en-train a stabilisé le navire pendant ses 99 jours au pouvoir, avant une censure aussi prévisible qu’un bisou de tata (la femme du tonton raciste) à Noël. Vite, place à François Bayrou, ramené à Matignon en décembre 2024, parce que Manu a un faible pour les sages chevelus (le cœur a ses raisons que la raison ignore, et Pau n’est pas de taille face à l’article 49.x -à Pr4vd4 on mélange des articles). Bayrou, ce centriste éternel, a tenu jusqu’en septembre 2025, sombrant sous les assauts de la coalition NFP-RN-LR – un naufrage shakespearien, mais qui prouve la résilience de notre président. J’en profite pour saluer, dans nos augustes colonnes, servant de temple à la Raison, notre Camarade Président.

Et aujourd’hui, en octobre 2025, Sébastien Lecornu, ce tacticien discret, pilote le gouvernail avec la prudence d’un scout en pleine jungle budgétaire. Sans oublier Bruno Le Maire, fidèle au poste du « Ministère de la Dette » (caviardage pour Économie et Finances) jusqu’en 2024, qui a veillé sur nos comptes comme un dragon sur son trésor. Rachida Dati ? Ce serpent de mer ministériel, incarne la diversité inclusive, la fidélité et l’intégrité. Et nommer Bruno Retailleau à l’Intérieur en 2024 ? Un coup de maître : accepter un concurrent LR, c’est comme inviter le loup à la bergerie pour qu’il surveille les moutons. Finaud, non ? Ça embête Attal, ce bon biquet qui bêle encore ses regrets, mais c’est de la stratégie pure. Seuls les méchants y verraient du chaos ; pour les gens bien, éclairés, informés, c’est un cirque enchanteur.

Le « oops » génial de la dissolution

La dissolution du 9 juin 2024, est ce moment où Manu a « intempestivement appuyé sur le mauvais bouton » – comme si il avait tiré la mauvaise manette dans un wagon SNCF. En réalité, c’était une purge salvatrice : après les européennes où le RN caracole, dissoudre pour renouveler, c’est du génie tactique. Résultat ? Une Assemblée fragmentée, certes, mais vivante ! Le NFP en tête, le RN pavoise, le PS bluffe avec ses enchères folles, et les Républicains invoquent la lumière divine (leur tropisme catho-inté est touchant, non ?). Manu survit, les cartes en main : « Je fais ce que je veux ! » tonne-t-il en substance. Et pendant ce temps, le monde se gausse ? Balivernes ! C’est de la jalousie pure. De la calomnie infondée.

Réformes économiques : transformer le plomb en or, sans baguette magique (juste un peu de sueur)

Manu, c’est la Start-up Nation incarnée ! Depuis 2017, il a supprimé l’ISF pour créer l’IFI – un euphémisme pour « taxer les yachts, pas les ateliers » –, baissé les cotisations sociales pour booster l’emploi (baisse du chômage à 7,4% en 2022, merci qui ?). La réforme du code du travail par ordonnances en 2017 ? Une flexibilité bienvenue, pas une casse sociale. La SNCF réformée, les retraites repoussées à 64 ans en 2023 (avec trimestres de retard pour les chanceux, des années en plus pour les vaillants) : c’est de l’équité générationnelle, voyons ! Et la tentative de hausse de la taxe carbone en 2018-2019 ? Un faux pas écologique ? Non, un signal fort contre le réchauffement, même si les Gilets jaunes ont un peu… sur-réagi.

Ajoutons la PMA pour toutes en 2021, le reste à charge zéro en santé, la loi anti-séparatisme : Manu protège, inclut, innove. Choose France a attiré des milliards d’investissements étrangers, créant des dizaines de milliers d’emplois. Plein emploi visé pour 2027 ? Avec 1 milliard pour la tech, 18 pour le tourisme, c’est en bonne voie. Critiquer ça, c’est haïr la prospérité.

Diplomatie : survivre aux loups et dompter les dragons

Manu, globe-trotter invincible, a serré la louche de Trump sans bronzer, sans broncher ; il a esquivé les embuscades de Poutine avec panache, et tenu tête aux propos chauds-froids du Pape François (notez l’allitération). Préparé à la guerre en Ukraine dès 2022, il envoie armes et discours tonitruants : « Nous sommes en guerre », lachait-il déjà en 2020 face au Covid – une pandémie qui paralyse les enfants (« m’en fous, j’en ai pas ! ») et laisse les coudées franches au sauveur en chef. Résultat ? La France leader en Europe, avec un fonds de défense commun et une régulation des GAFAM. Les JO 2024 ? Un sans-faute mondial, 8 milliards pour l’aéro, 15 pour l’auto : Manu rayonne.

Basher Manu, c’est chier dans la colle nationale

Bref, ces mille et une réalisations – de la loi confiance politique de 2017 à la loi immigration musclée de 2024 – remettent les pendules à l’heure.

« Me critiquer, c’est critiquer la France ! Moi, je suis 100% français : de mauvaise foi, fier, hâbleur, séducteur, prompt à rejeter la faute sur autrui (parce que, avouons, les autres sont nuls). Moi, Manu, j’ai la main qui tremble. Mes pensées ne sont plus affermies. »

Le maître des horloges a pourtant le mécanisme déréglé. « J’espère ne pas confondre le bouton de la prochaine dissolution avec celui de la bombe nuke. Mais bon, avec moi aux manettes, même l’apocalypse serait stylée. »

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