Pølitique

Kiss My Ass : 60 pays à genoux devant Trump, DØrcel en embuscade

Par Laika 031157

Le 12 mai 2025

Trump choque le monde avec un doigt d’honneur diplomatique. Paradoxalement, les pays se bousculent pour répondre au « kiss my ass »

Washington – Ou plutôt Washington-Moscou-Dubaï-Pékin-Tel Aviv* – bref, partout où l’on serre les fesses quand Trump parle.

C’est en direct d’un podium doré à l’or fin (volé dans un casino de Las Vegas) que Donald Trump a lancé sa dernière saillie diplomatique : « To all my haters and losers, Kiss My Ass! ». Traduction édulcorée : « À tous mes ennemis et perdants, embrassez mon fessier présidentiel ! » Pas un discours, non, un doigt d’honneur géopolitique. Et contre toute attente – ou plutôt dans la plus grande des prévisibilités – une soixantaine de pays se sont fendus d’un baiser… international.

G7, G20, G-point

La diplomatie mondiale, d’habitude occupée à faire semblant de ne pas comprendre ce que dit Trump, a cette fois sauté à pieds joints dans le délire. Le président du Kazakhstan a été le premier à réagir, posant nu sur un cheval (en hommage à Poutine, grand inspirateur de poses viriles), une pancarte à la main : “We kiss it bigly!”.

Emmanuel Macron, jamais en reste pour jouer au premier de la classe tout en tapinant en douce, a quant à lui déclaré devant l’Assemblée nationale : « Ce que les Français veulent, c’est un postérieur qui protège. Et Donald Trump incarne cette puissance fessière que nous devons respecter. » L’Élysée parle déjà d’un « partenariat stratégique du sillon inter-fessier ».

Même Olaf Scholz, pourtant réputé aussi expressif qu’un compteur Linky, s’est fendu d’un tweet : “Arsch ist Arsch. Wir sind dabei.” (« Un cul est un cul. Nous sommes partants »).

Du côté de l’ONU, c’est la panique : jamais un seul trou de balle n’avait autant rassemblé. Le Conseil de sécurité, d’habitude incapable de se mettre d’accord sur l’heure du café, a voté à l’unanimité une résolution : « Le cul de Donald Trump est reconnu comme territoire neutre, sanctuaire diplomatique et lieu de pèlerinage. » Le Saint-Siège aurait même demandé à y installer une ambassade.

M4rc DØrcel entre dans la danse (du ventre)

Mais là où l’histoire bascule dans le triple X, c’est avec l’annonce fracassante de M4rc DØrcel. Le mage du porno français a annoncé, lors d’un dîner mondain entre une actrice bulgare et un député centriste, avoir racheté les droits de la séquence historique pour l’adapter en long-métrage avec le titre : « Kiss My Ass – International Rear Fair ». Ce projet ambitieux est présenté comme une coproduction multilingue, avec scènes tournées à l’ONU, à Mar-a-Lago et dans un bunker nord-coréen.

DØrcel promet « un casting d’enfer, avec des acteurs de 60 nationalités différentes, un décor en forme de globe terrestre en latex, et des dialogues inspirés des vrais discours politiques, c’est-à-dire… à peine écrits ». Le rôle de Trump sera incarné par un acteur russe qui se fait appeler « Donalov le Magnifique », et dont les qualifications principales sont : 1) blondeur, 2) cul de 4m2.

Le film s’inscrira dans la nouvelle série “Géopolitique du fion”, qui comprend déjà des classiques comme « Angela en mission à Bruxelles », « La fellation du Brexit » et « Mission Anale au FMI ».

La carte du monde refaite à coups de langue

La carte diplomatique mondiale est en pleine reconfiguration. Fini l’Axe du Mal, bienvenue à l’Axe du Mâle. La Corée du Nord, pour une fois en accord avec le reste du monde, a immédiatement envoyé une lettre d’amour à Trump, gravée sur du cuir humain, signée de Kim Jong-un : « Your ass is our compass. »

Le Canada, plus pudique, a simplement publié une photo officielle de Justin Trudeau agenouillé, les lèvres pincées, sous le drapeau américain, avec la légende : “Lips sealed but loyal.”

L’Inde a proposé d’inscrire la fesse présidentielle au patrimoine mondial de l’UNESCO, sous la catégorie “Monument Naturel et Lieu Sacré de Contemplation”.

Israël a tweeté « Mazeltov! », pendant que les Émirats Arabes Unis commandaient une réplique en or massif de la fesse présidentielle pour l’exposer dans le hall de leur nouveau musée : “The House of Ass”.

Opposants en slip, résistance mollassonne

Seuls quelques pays ont refusé de suivre le mouvement de lèche : la Finlande, par principe, l’Iran, par religion, et le Venezuela, par absence d’accès à Internet. Le reste du monde s’est rangé derrière les bajoues postérieures du patron orange.

En France, quelques sénateurs communistes ont tenté d’organiser une contre-manifestation sous le slogan : « Pas question de s’agenouiller pour un millionnaire pète-sec », mais se sont fait huer par un groupe de jeunes entrepreneurs en startup qui, eux, avaient déjà réservé un espace publicitaire sur le bas des reins présidentiels : « Propulse ton projet avec Trump’s Crack Capital ! »

Un business juteux comme une fesse suée

Au moment où ces lignes sont écrites, le merchandising explose : mugs, porte-clés, sprays “odeur Trump”, coussins de méditation en forme de fesse, gels lubrifiants “America Slides Again”… C’est l’âge d’or de la crack économie.

Le magazine Forbes annonce déjà un nouveau secteur d’investissement : l’Anus Diplomatique, qui regroupe les start-up spécialisées dans le léchage politique, les accessoires de prosternation et les simulateurs d’embrassade protocolaire.

La Silicon Valley s’est emparée du sujet : Elon Musk a annoncé une appli baptisée “AssTrackr”, qui permet de suivre en temps réel qui embrasse quoi et à quel moment. Objectif : “Uberiser la soumission diplomatique”.

Et après ? Le trou noir géopolitique

Certains experts s’inquiètent : « Si tout le monde embrasse le même cul, qui regardera vers l’avenir ? » s’interroge un politologue allemand. D’autres répondent : « Peut-être qu’en regardant tous le même trou, on finira par voir la lumière. »

L’ultime mot revient peut-être à M4rc DØrcel, grand poète des reins du monde : « Si la politique est un théâtre, Trump en est le rideau. Et aujourd’hui, tout le monde veut le tirer. »